On découvre d abord une ville en vieilles pierres qui nous rappelle Certains villages typiques aveyronnais…! A quelques détails près.
Le pont, détruit par un missile bien dirigé, a été reconstruit il y a 5 ans. plus de 20 mètres de haut. C’est l’icône de la ville. Certains garçons sautent du haut du pont, mais on en a pas vu ce jour là… ça caille en ce moment.
La photo inévitable, la photo poster, la photo carte postale. Il ne manque plus qu’un petit Welcome to Mostar et une oblitération.
Rapidement, on sort du vieux quartier….
Sur la ligne de front qui sciait la ville en deux (parallèle à la rivière), nous nous permettons ce que nous ne pouvions imaginer et voir il y a quelques années. On le fait, mais pas longtemps… Contrairement aux autochtones, on a du mal à s’habituer.
Il n’ y avait pas que des snipers par ici…
Elles sont éloignées, mais d’ici, elles semblent proches. La mosquée et l’église ont été reconstruites.
Avant / Après… en temps réel.
Ça se reconstruit. Passer dans cette ville est une nouvelle expérience. Les traces sont si visibles. Mais les gens qui vivent se sont bien accoutumés. Stoïques, ils trépassent dans les rues. Les vieux jouent aux échecs. Les jeunes vont à l’école. Parler avec les jeunes de notre génération est aussi une forte expérience.